les mysteres du monde

Venez faire un tour dans le monde de l'étrange, tous ces mystères qui nous entourent qui nous passionnent, certaines vous feront sourire, d'autres vous feront froids dans le dos, mais qu'importe, ceci vous permettra d'élargir vos connaissances.



1 les sirenes



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La sirène est une créature hybride mie-femme mi-poisson

Le mythe des sirènes est quasi indestructible. L’iconographie antique les représente comme des femmes à queue de poisson tenant des instruments de musique, ou des oiseaux à visage et seins de femme. Sur les monuments funéraires, elles figuraient des de la mort chantant au son de la lyretout en ayant des intentions érotiques à l’égard du héros décédé. Plusieurs auteurs anciens les ont citées : Aristote, Pline, Ovide, etc., et les Bestiaires médiévaux les décrivent comme des femmes « de la tête aux cuisses » et poissons de « là jusqu’en bas avec des griffes et des ailes ». Elles ont laissé à la postérité leur image gravée dans la pierre des stèles, tombeaux ou des églises romanes où elles personnifient l’âme des morts comme dans l’Égypte ancienne, on les invoquait au moment de la mort


D'illustres navigateurs ont dit avoir rencontré des sirènes : Chrisophe Colomb en 1493, en aurait vu trois près des côtes de Saint-Domingue « mais elles n'étaient pas aussi belles qu'on les décrit... » Un avis qui n'est pas partagé par les marins d'un navire américain qui ont observé, vers 1850 près desiles Sandwich (Hawaï) une sirène « d'une grande beauté qui ne cédait en rien aux plus belles femmes ». Ces sirènes sont certainement des mammifères marins, tels les les lamantins et les dugongs qui vivent dans les eaux peu profondes des archipels, des lagunes et estuaires.

En 1403 près d'Edam en Hollande, un spécimen a été capturé par deux jeunes filles. Il s'agissait d'une femme, trouvée nue dans l'eau et ne parlant aucune langue connue, qui fut surnommée la « sirène d'Edam ».



L'origine des sirènes n’est pas claire. Selon la mythologie, elles étaient filles du fleuve Acheloos et de la nymphe Calliope (ou de Terpsichore la Muse de la danse). Les Romains racontent d'ailleurs que les sirènes étaient à l'origine des femmes normales, elles auraient été les compagnes de Koré, devenue par la suite "Perséphone", et auraient laissé "Hadès" l'emmener. Les sirènes auraient reçu leur forme comme punition pour ce crime et, par la suite, les Sirènes, chantaientprophéties et chansons relatives au royaume d'Hadès. Les premières sirènes de la mythologie grecque étaient représentées comme des créatures mi-femme, mi-oiseau ; pour expliquer ces formes étranges, on dit qu’Aphrodite leur mit des pattes et des plumes tout en conservant leur visage de jeunes filles parce qu’elles avaient refusé de donner leur virginité à un Dieu ou à un mortel.



Ces divinités, fluviales à l'origine, étaient très fières de leur voix et défièrent les Muses filles de Zeus et de Mnémosyne. Les Muses remportèrent le défi et exigèrent une couronne faite des plumes des sirènes, ce qui les priva du don de voler. Vaincues, elles se retirèrent sur les côtes d'Italieméridionale. Au nombre de trois, quatre ou huit elles vivaient sur une ou plusieurs petites îles vertes situées à l'ouest de la Sicile : Anthemusa et les îles des Sirènes (selon les Siciliens, près du Cap Péloros, aujourd’hui Faros tandis que leslatins les situent à Capri), se montrant particulièrement redoutables à l’heure de la sieste, par temps calme.

Musiciennes dotées d’un talent exceptionnel, elles séduisaient les navigateurs qui, attirés par les accents magiques, de leurs lyres et flûtes et perdaient le sens de l’orientation, fracassant leur bateau sur les récifs où ils étaient dévorés par ces enchanteresses. On leur attribue divers noms : Aglaopé (celle au beau visage), Agalophonos (celle qui a une belle voix), Leucosia la blanche), Ligéia (celle au cri perçant),Molpé (la musicienne), Parthénopé (celle qui a un visage de jeune fille), Raidné(l’amie du progrès),Télès (la parfaite), TThelxépéia (l’enchanteresse), TThelxiopé (celle qui persuade).

Traditionnellement, lorsqu'elles sont trois, une joue de la lyre, une autre de la flûte et la troisième chante.

La première mention des sirènes dans la littérature se trouve chez Homère au chant XII de l'Odyssée, dans un des plus fameux passages du récit : Ulysse s'est fait attacher au grand mât de son navire pour ne pas céder au chant des sirènes, pendant que ses compagnons rament, les oreilles bouchées par la cire.



Cependant, Homère ne fait aucune allusion à des femmes-oiseaux. Le texte semble même suggérer qu'il pense à des femmes normales se tenant au bord de la mer, contrairement à certaines représentations grecques. Selon certaines interprétations, les sirènes n’étaient autre chose que des courtisanesqui demeuraient sur les bords de la mer de Sicile et qui séduisaient les marins.


L’incorruptibilité physique 

"Homme tu est poussière, et tu retourneras tel est le sort réservé  à tous les hommes, Mais certaines personnes défie le temps, et leur corps reste intact. cette incorruptibilité physique est-elle le privilège d'hommes et de femmes saintes.
Il a été constaté  que pourtant certains élus n'ont pas bénéficié de cette non petrufaction.
et que certaines personnes non béatifiés ou canonisés ont gardé un corps intact.

Un exemple de ces « miracles » est celui de Maria Anna Ladroni qui mourut à Madrid en 1624.
107 ans plus tard, sa dépouille mortelle fut exhumée sur l’ordre des autorités religieuses lors de son procès de béatification.

Voila quelles furent les conclusions de l’époque :

« Il n’y eut pas moins de 11 docteurs et chirurgiens pour procéder à l’examen de la dépouille. Ils ont pratiqué, à l’aide de leurs instruments, diverses incisions sur le cadavre. Toutes les recherches aboutirent à une dissection quasi complète du corps : les viscères, les organes et les tissus apparurent dans un parfait état de conservation, encore humides, fermes et élastiques au toucher.
Le cadavre était imprégné d’une sorte de fluide odorant, qui répandait des effluves persistants. »

Saint Charbel, sainte Catherine de Bologne ou saint Pacifique de Cerano ont été inhumés directement dans la terre et l’on n’a constaté aucune dégradation de leurs cadavres.

D’autres sont restés intactes dans un sol humide alors que leurs vêtements se désagrégeaient sur leur chair intacte. C’est le cas de sainte Thérèse d’Avila et sainte Catherine de Gênes.

Quand le corps de sainte Catherine Labouré fut exhumé en 1933, 57 ans après sa mort, on trouva son corps intact bien que le triple cercueil ait été rongé par la moisissure.


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Bernadette Soubirous son corps intact ,dans son cercle de verre

Décédée le 16 avril 1879, le corps de Bernadette Soubirou a été exhumé en septembre 1909, en avril 1919, puis en avril 1925. Intact, il est conservé depuis le 3 août 1925 dans une châsse située dans la chapelle de l'ancien Couvent Saint-Gildard de Nevers

A la fin du XIXe siècle, le père Herbert Thurston fit la première étude sérieuse des cas d’incorruptibilité.
Il nota que les corps six phénomènes caractéristiques mais pas forcement simultanés:

  • La présence d’un parfum suave émanant du corps
  • L’absence de rigidité cadavérique
  • La persistance d’une certaine tiédeur du cadavre
  • L’absence de putréfaction
  • Parfois, des saignements anormaux
  • Parfois, la constatation post mortem d’étranges mouvements du cadavre qui ne sont pas attribués à des contractions musculaires mécaniques

Si l’on écarte l’idée d’un miracle divin, quelles sont les autres hypothèses susceptibles d’expliquer cet étrange phénomène ?

La première hypothèse est bien sûr l’embaument préalable du corps. Mais, un embaument est simple à déceler lors des examens post mortem.
Dans les cas qui nous préoccupent, aune trace d’une substance quelconque ayant pu stopper la décomposition n’a été découverte.

L’incorruptibilité ne peut être vraiment prouvée que lors de la première exhumation. En effet, les organes de certains saints ont été prélevés après coup pour être utilisés comme reliques sacrées.

Joan Cruz distingue trois types d’incorruptibilité physique :

  • Les corps volontairement conservés par embaument ou toute autre technique (momies)
  • Les corps préservés accidentellement ou grâce à des techniques naturelles (momies naturelles)
  • Les cas d’incorruptibilité authentiques et non expliquées par la science

On a émis quelques hypothèses :

fleche_rouge_02.gif Extrême sécheresse de l’air et absence de poussière. C’est le cas de la nécropole de Kiev

fleche_rouge_02.gif Rôle possible des radiations mais qui reste valable que dans quelques cas

Il existe également un phénomène appelé « saponification » qui est la transformation des tissus humains en une masse ammoniacale savonneuse tandis que l’épiderme se durcit.
Cette substance saponifiée est dite « gras de cadavre » ou « adipocire ».

On observe ce phénomène chez des cadavres inhumés dans des terrains marécageux putrides. On ignore pourquoi il intervient dans certains cas et pas dans d’autres.

La saponification, qui est une forme particulière de décomposition des lipides, n’est pas courante mais pas non plus exceptionnelle.
Ce phénomène n’est pas considéré comme miraculeux par les autorités ecclésiastiques.

La véritable incorruptibilité est très différente. Pour des raisons inconnues, un corps reste intact tandis que d’autres, à ses côtés, se décomposent.

Il faut préciser que ce « miracle » n’est pas suffisant à lui seul pour obtenir la béatification, sauf pour l’Eglise orthodoxe russe.

Il est important de souligner que ce phénomène se rencontre dans la plupart des religions et que c’est également un thème important de l’inconscient collectif.

Il existe des similitudes entre les divers cas d’incorruptibilité authentique qui sont très rares, rappelons le.

La science ne peut l’expliquer actuellement. Il est vrai que ce phénomène a laissé la communauté scientifique étrangement indifférente.

Quelles que soient nos convictions et nos croyances religieuses, peut-être devons nous nous pencher sur la nature de notre existence physique et spirituelle. Que nous soyons un jour destiné à la gloire, comme les saints, ou non, la réalité n’est peut-être pas celle que nous percevons.

Entre la vie et la mort, il nous reste à comprendre l’essence de la réalité elle-même.

Albert Legrand
Catherine de Sienne
François Xavier
Thérèse d'Avila
Charles Borromée
Jean De La Ceoix
François de la Salle
Jeanne De Chantal
Vincent De Paul
Charles Maklouf

Catherine Laboure

Catherine Labouré dont le corps est conservé à Paris rue du bac (chapelle de la médaille miraculeuse)

3 Amytiville (1)
Croyez-vous aux fantômes regardez ce documentaire et faites vous votre propre avis



AMYTIVILLE (2)


AMYTIVILLE (3)


le mystère de l'Atlantide



Île dont parle Platon dans le Timée et le Critias, l'Atlantide se serait située au-delà des colonnes d'Hercule (Gibraltar) et aurait été engloutie par un cataclysme gigantesque, que Le Politique tente d'expliquer par les révolutions astrales chères aux Anciens. Ces événements, dont Platon précise qu'ils se sont passés 9 000 ans auparavant, sont rapportés par Critias, qui les a entendus de son grand-père, lequel les tenait d'un vieux prêtre égyptien.


Rapportée dans deux dialogues de Platon à une date où celui-ci est déjà âgé,vers 357 av j.c l'histoire de l'Atlantide a soulevé de nombreuses questions, de nombreux débats et a été l'objet de milliers d'ouvrages, si bien qu'on a pu la présenter comme le plus grand de tous les mystères. Pour qui accorde de la véracité au récit de Platon, il résonne depuis près de 2 370 ans comme un avertissement sur l'incroyable pérennité des connaissances humaines d'une histoire qui se serait transmise sur plus de 11 600 ans. Ainsi le géologue Jacques Collina-Girard a étudié les possibilités d'une transmission orale de lointains événements historiques et géologiques.

Mais si Platon précise dans ses dialogues « le fait qu'il ne s'agit pas d'une fiction, mais d'une histoire véritable et d'un intérêt capital » une majorité de livres universitaires s'accordent aujourd'hui à voir le mythe de l'Atlantide comme une fable de Platon. C'est l'opinion qui s'est en effet imposée avec les travaux de Pierre Vidal-Naquet qui n'a pas abordé le mythe de l'Atlantide par les sciences du climat, de la géologie, de l'océanographie mais du point de vue de l'historien et du philologue] et de Christopher Gill dans le monde anglo-saxon ou encore de Heinz-Günther Nesselrath en Allemagne. « La narration platonicienne introduit effectivement quelque chose de nouveau : dire le fictif en le présentant comme le réel. Avec une perversité qui lui a valu un immense succès, Platon a fondé le roman historique, c'est-à-dire le roman situé dans l'espace et dans le temps ». Aristote et Ératosthène avaient dès l'Antiquité marqué leur scepticisme face au mythe de PlatonPour Hervé Duchêne, professeur d'histoire ancienne à l'université de Bourgogne, le procédé rhétorique de Platon, présentant le fictif comme le réel aurait égaré « ceux qui cherchent naïvement dans le Critias et le Timée une réalité historique ou topographique précise ».

La construction de cette fiction s'explique pour Kathryn A. Morgan par la nécessité d'élaborer une vision d’Athènes qui correspond aux idéaux politiques de Platon : l’histoire de l’Atlantide correspond au noble mensonge qui peut servir de récit fondateur à une cité . Pour construire son pastiche historique Platon a donc réutilisé les lieux communs de l'historiographie de son temps. De même, pour Bernard Sergent, chercheur au CNRS, Platon a « fabriqué un mythe » en s’inspirant de motifs puisés dans la mythologie grecque : notamment des mythes de cataclysme et d'engloutissement, la mythologie propre à Poséidon et trois récits de guerre, athénien, béotien et thessalien, enfin il considère la proximité du mythe platonicien et de la trifonctionnalité indo-européenne. Luc Brisson, chercheur au CNRS, traducteur, éditeur et spécialiste des textes de Platon a lui aussi repris l'analyse de Pierre Vidal-Naquet à propos du récit de la guerre entre Athènes et l'Atlantide. Il remarque "beaucoup de lecteurs sont restés insensibles à l'ironie - à la perversité - de Platon, qui ont considéré comme une vérité historique le récit fait par Critias le jeune […] le génie de Platon, dans cette affaire, aura été de montrer à quel point il est difficile, dans la pratique, de distinguer la fiction de la vérité et le sophiste de l'historien et du philosophe. Selon Guy Kieffer, chargé de recherche au CNRS, géographe et géologue qui s'est penché sur les sources de Platon : « Il est maintenant admis que l'Atlantide n'a jamais existé et qu'il s'agit d'un mythe créé par Platon ». Il conclut : « L'Atlantide n'a jamais existé. Elle correspond à une allégorie imaginée par Platon pour donner une leçon de civisme et de bonne conduite à ses concitoyens d'Athènes et dénoncer leur mercantilisme, leur indiscipline, leurs querelles et l'esprit démagogue de leurs mœurs politiques » mais considère que Platon s'est inspiré des réalités géologiques observables en Sicile, plus particulièrement dans la zone de l'Etna, pour donner à son récit une apparence crédible et une précision forte dans ses descriptions.

Ces conceptions sur l'origine fictive du mythe ne sont pas cependant toujours partagées en dehors de la communauté des historiens et archéologues. En effet, des érudits de tous genres, des géographes, et des géologues, continuent leurs études et leurs explorations. Ainsi le géologue Jacques Collina-Girard propose de voir l'Atlantide dans un site géologique avéré près du détroit de Gibraltar, mais à une époque où aucune civilisation sédentaire n'existait. Selon lui seul le récit du cataclysme s'inspirerait de faits réels transmis dans le temps long par la mémoire orale et que la géologie permettrait de retrouver, alors que la description de la civilisation atlante ne serait due qu'à l'imagination de Platon.

Une conférence internationale s’est tenue en Grèce à Milos en 2005 avec pour ambition proclamée de trancher sur la question de l’origine du mythe et de faire le point sur les connaissances récentes. Si le professeur Christos Doumas, historien et archéologue grec, y a soutenu l’idée de la non-existence de l’Atlantide, des indépendants et des chercheurs de diverses disciplines ont présenté diverses hypothèses de localisations sans parvenir à aucun accord sur la localisation définitive de l'Atlantide et ont établi une liste de 24 critères nécessaires à l'identification d'un site avec l'Atlantide. Une deuxième conférence fut organisée en 2008 à Athènes, une nouvelle est prévue à Santorin en 2010.


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Selon les prêtres, les Atlantes habitaient, il y a longtemps, un archipel dont une des îles s'appelait Atlantis. C'était un riche empire, pourvu à profusion de plantes utiles, d'animaux et de métaux. Ne se contentant pas de ces richesses naturelles, les Atlantes étaient des commerçants et des navigateurs accomplis; ils avaient doté leur ville, éloignée de cinq milles de la mer, d'un port artificiel remarquable. En outre, ils étaient d'excellents architectes et de grands artistes qui avaient élevé des constructions où le blanc, le noir et le rouge se combinaient en dessins variés. Mais les Atlantes tentèrent de s'emparer d'une partie de la Grèce et ils furent repoussés. Selon les prêtres égyptiens, Posséidon, le dieu de la mer, décida de les châtier pour être sortis de leurs îles; il provoqua des tremblements de terre et des inondations qui engloutirent l'Atlantide et les autres îles.

Solon s'étonna de ce qu'un fait historique aussi important n'ait laissé aucun souvenir chez les Grecs. Les prêtres lui répondirent en riant: "Solon, vous autres Grecs, vous êtes perpétuellement enfants. Vieux, pas un Grec ne l'est. (...) Votre âme ne renferme aucune opinion antique de vieille tradition, ni aucun savoir blanchi par le temps."

En effet, les pyramides égyptiennes étaient debout bien avant que les Grecs n'aient occupé la Grèce et ses îles. Lorsque Solon revint en Grèce il raconta l'histoire à ses proches et à ses enfants. Près de deux siècles passèrent, puis, le philosophe Platon écrivit l'essentiel des informations dans deux volumes présentés comme le récit d'événements s'étant réellement produit. Platon fixe à 9000 ans avant le Christ la destruction de l'Atlantide, qu'il situe dans l'Atlantique, car les prêtres égyptiens avaient précisé que les Atlantes vivaient à l'ouest de l'Égypte, au-delà du détroit de Gibraltar. Dans sa description, Platon signale que, par l'Atlantide, on pouvait passer au continent en face. Le philosophe aurait probablement donné plus d'informations, mais son dernier livre se termine brutalement, au beau milieu d'une phrase...

Pour Platon, aucun doute, l'histoire de l'Atlantide qui "disparut sous la mer en un seul jour et une seule nuit" est vraie. Il précise: "Cette histoire, bien qu'étrange, est certainement vraie puisqu'elle a été relatée par Solon, le plus ancien des sept sages."



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*La civilisation qui avait prospérée dans l'île de Santorin (l'ancienne Thera) avant l'éruption de son volcan fut mise à jour vers le milieu du XIXe siècle, grâce à la création et l'exploitation de carrières de pouzzolane destiné à isoler les parois du Canal de Suez en construction. Les fouilles furent abandonnées, en partie à cause de la guerre de 1870. Ce fut un archéologue nommé Spyridon Marinatos qui rouvrit le site. Une incroyable et riche cité avait été protégée de l'usure du temps par une couche de tuf. Elle s'était éteinte quand une gigantesque éruption l'avait détruite, vers 1500 ans av JC. De belles maisons, d'imposantes places et rues, des jarres ont étés découvertes. Immédiatement, Marinatos fit le parallèle entre l'éruption du Santorin et la légendaire Atlantide. Les prêtres égyptiens auraient gardé trâce de la violence du cataclysme dans leur archive, puis en aurait informé Solon lors de son voyage. Ainsi, la prospère petite île de la mer Egée se serait transformée en un richissime empire plus grand qu'un continent, et situé au-delà des Colonnes d'Hercule. Cette théorie est la plus connue et la plus reconnue.


*Une autre thèse est admise par un certain nombre de personnes (dont je fais partie). L'Atlantide aurait pu être dans l'Océan Atlantique, et plus précisément dans le Triangle des Bermudes. Platon précise que l'on pouvait passer de l'Atlantide à d'autres îles, et de ces îles, passer sur le continent. On a le choix : ces îles pourraient être les Bahamas, Cuba ou même Hispaniola. De plus, l'on sait que la mer des Sargasses est connue pour l'incroyable prolifération d'algues dans ses eaux. Or, les fonds vaseux de l'Atlantide, continent béni par Poséidon et à l'agriculture particulièrement prospère, seraient un fertilisant incroyable, qui permettrait à la végétation souterraine de se développer.

Il existe plus d'une centaine de livres qui relatent l'histoire et les théories sur l'Atlantide, mythe ou réalité ?  le mystère reste entier.  A chacun de forgé son idée

Le code de la bible





Les adeptes de la Kabbale sont familiers de l'activité qui consiste à interpréter la Bible en associant un code, un symbole, un chiffre à chaque lettre de l'alphabet hébreu, pour en interpréter la signification.

Le mathématicien russe Ivan Panin (au début du XXe siècle) est connu pour ses recherches sur la « structure numérique » de la Torah, c'est-à-dire, de l'Ancien Testament en hébreu.

Le rabbin Michael Ben Weissmandel mène également, à peu près à la même époque, des recherches sur la Tanakh, et plus spécialement la Torah.

Parmi les élèves de ce dernier, Witztum et Eliyahu Rips (au début des années 1980) se démarquent en reprenant ces travaux avec l'aide de l'informatique. Alors professeur à l'université de Jérusalem, Rips prétend découvrir des messages dans la Torah et fait paraître un article, dans la revue Statistical Science, en 1994, avec le soutien de Robert Aumann.

En 1997, Michael Drosnin, convaincu par ses résultats, publie ces travaux dans son livre.

Rips et Witztum critiquent alors le livre de Drosnin, qui ne possède aucun fondement scientifique à leurs yeux, mais maintiennent que leur propre méthode reste valide.

À la fin des années 1990, le Centre pour la rationalité, une structure de l'université de Jérusalem, décide de lancer une commission de cinq membres sur le sujet. Celle-ci, présidée par Robert Aumann, ne donna pas d'avis tranché, en raison de désaccords entre ses membres.

Le « code »

L'hypothèse de Michael Drosnin est que la Bible (dans sa version hébraïque) contient un code permettant de retrouver diverses prophéties sur l'avenir de l'Humanité.

La méthode utilisée pour retrouver ce code est de prendre le texte de la Bible et de chercher les combinaisons de lettres qu'il est possible d'extraire en partant d'une lettre, puis en sautant 20 lettres plus loin, et en recommençant ainsi de suite. Cependant, la recherche ne s'effectue pas totalement au hasard : il faut commencer par choisir un mot bien précis, suffisamment long, et le chercher en premier. Une fois ce mot trouvé, d'autres mots sont cherchés dans la zone ainsi définie

Selon Drosnin, ce code est l'œuvre d'une intelligence non-humaine (pour lui, il s'agirait plus d'extraterrestres que de Dieu) qui existe — ou qui existait — à l'époque où la Bible fut écrite. Il affirme avoir notamment retrouvé les prédictions des assassinats de John Fitzgerald Kennedy, Anouar el-Sadate ou encore Yitzhak Rabin. Il aurait écrit à ce dernier pour l'avertir, avant son assassinat.

Jean-Paul Delahaye, professeur d'informatique à l'Université des sciences et technologie de Lille, chercheur au Laboratoire d'informatique fondamentale du CNRS de Lille, affirme quant à lui que ce livre « est fondé sur une escroquerie à trois étages ». Selon lui, c'est une démonstration du théorème de Borel :

« en prenant un grand nombre de combinaisons de lettres, on trouve des mots connus et même des rapprochements de mots connus où, sans se forcer beaucoup, on réussit à voir le présent et le passé (ce qui permet alors de prétendre y lire l'avenir). »

Suite à un défi lancé par Drosnin dans le magazine Newsweek, le professeur Brendan McKay a appliqué cette méthode dans le texte anglais de Moby Dick, il démontre que la probabilité de trouver des phrases ayant un sens est loin d'être négligeable. Il retrouve ainsi « l'annonce » de neuf assassinats de premier ministre, dont celui de Yitzhak Rabin, ou encore de Lady Di.

Brendan McKay a également étudié (avec Dror Bar-Nathan) une partie du texte hébreu de Guerre et Paix (livre qui par ailleurs tourne en dérision les interprétations mathématiques de la Bible; livre III, 1re partie, 19), qui a la particularité de contenir autant de caractères que la Genèse. Ils obtiennent des résultats identiques, voire meilleurs que ceux des Israéliens à l'origine du code.

Robert Aumann avouera avoir beaucoup soutenu les travaux sur le code (« en tant qu'observateur »). Il conclura cependant, dans le rapport de la commission de l'université de Jérusalem :

« (…) les données sont trop complexes et ambiguës et que leur analyse implique trop de jugements personnels pour qu’on puisse parvenir à des conclusions scientifiques significatives (…) le phénomène des Codes est improbable. »

Pour clore le bec des sceptiques, Drosnin lance un défi dans le magazine Newsweek : « Si ceux qui me critiquent arrivent à trouver dans Moby Dick un message codé annonçant la mort d’un premier ministre je les croirai ». Mais tel est pris qui croyait prendre. Brendan McKay, professeur de mathématiques à l’Université nationale d’Australie, parcourt le texte anglais de Moby Dick et y découvre pas moins de neuf annonces d’assassinat d’un premier ministre…dont celui de Yitzhak Rabin ! Plus impressionnant encore, chacune de ces annonces est accompagnée de mots correspondant à des détails de l’événement. Le clou de décodage de McKay : la mort de Lady Di , codée dans Moby Dick à côté des noms de son amant et du chauffeur du véhicule. Comment expliquer ce résultat surprenant ?








Une affaire de probabilité

La probabilité de trouver un mot à partir de lettres disposées au hasard décroît avec la taille du mot de façon exponentielle. S’il y a un peu moins d’une chance sur 10 000 de trouver par hasard un mot de 3 lettres préalablement choisi, il n’y en a qu’une sur 100 millions pour un mot de 6 lettres et une sur 1000 milliards pour un mot de neuf lettres. Rapporté à des textes ayant une centaine de milliers de caractères, on comprend que l’on puisse trouver certains mots de 4 lettres mais plus difficilement des mots de 7 ou 8 lettres.

C’est oublier un peu vite que l’on ne fait pas une seule lecture du texte. Le code cherche à composer des mots à partir de lettres régulièrement espacées. Ces « sauts » de lettres vont de 1 à une fraction de la taille totale du texte (plusieurs milliers de caractères). On fait autant de lectures qu’il y a de sauts possibles : cela multiplie d’autant les chances de trouver un mot. Il n’est donc pas étonnant de trouver dans la Torah ou dans Moby Dick un mot de 6 lettres préalablement choisi !

 

Rips et ses collaborateurs se sont trompés en affirmant que des codes élaborés ne se trouvent que dans la Bible. Mais ils n’ont pas nécessairement tort quand ils disent que les noms des sages y sont plus fréquent que la normale. Pour se faire une idée, il faut comparer ce qui est comparable, et donc partir d’un texte en hébreu car cette langue facilite l’apparition de mots codés –voir l’encadré Pourquoi est-ce plus facile avec l’hébreu ? -. Brendan McKay décide d’étudier avec Dror Bar-Nathan une partie du texte hébreu de Guerre et Paix de Tolstoï contenant autant de caractères que la Genèse. Ils obtiennent des résultats identiques, voire meilleurs que ceux des Israéliens… La raison en est simple : les travaux initiaux de Rips comprennent de nombreuses erreurs méthodologiques et des choix subjectifs qui permettent de grossir les chiffres des probabilités –voir l’encadré L’erreur du raisonnement a posteriori-. C’est ce que rapporte un article signé par McKay, Bar-Nathan et deux de leurs collaborateurs (2).



la date fatidique de 2012 serait également confirmée par le code secret de la Bible, v(La Bible le Code Secret le livre à succès de Michaël Drosnin ( Robert Laffont, 1997 )), qui a décortiqué la Bible en hébreu à partir de calculs fondés sur la valeur numérique des lettres, et a découvert que ” des comètes devraient cribler la Terre en 2010 et 2012 ” . Drosnin aurait plus précisément déchiffré une sombre prophétie divine concernant l’anéantissement de la Terre en 2012 : ” Elle sera broyée, bouleversée, je la réduirai en pièces…”… Laquelle est confirmée par un kabbaliste new-yorkais, Joseph Michael Levry. Ce dernier précise que, depuis le 8 juin 2004, la Terre est entrée dans une période dite de “déluge”, consacrée à une purification avant l’avènement d’une conscience supérieure en …2012.

Délire d’un journaliste ? Prédiction scientifique ? Une chose est sûre : impossible de trancher sans comprendre en quoi consiste le « code secret » de la Bible.
Ce livre étonnant nous apprend, exemples «décodés» à l’appui, que le code inclus dans la Bible fonctionne en réalité comme un programme informatique. Pour arriver à le déchiffrer et donc à interpréter le «livre sacré» comme il devait être lu, il fallait l’aide de l’ordinateur. Newton s’était déjà intéressé à un possible Code de la Bible : Drosnin nous indique en effet que toute sa vie, Newton a essayé de prouver que la Bible renfermait le destin de l’Humanité. Persuadé de l’existence d’un code cryptant les saintes écritures, Newton n’arriva cependant jamais à trouver la clef de celui-ci.

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Le titan et le titanic
 
L'histoire était écrite depuis 14 ans  par morgan robertson 
    Morgan Robertson.jpg
 

L'écrivain Morgan ROBERTSON, publia un roman racontant l'histoire du naufrage d'un navire. Ce récit, bien que datant de 14 ans avant le drâme du Titanic, en est presque une copie. Le nom du bateau de ROBERTSON était le Titan. Il mesurait 244 mètres et déplaçait 70000 tones, le Titanic, 269 mètre pour 66000 tonnes. L'ouvrage fut publié aux Etats-Unis en 1898, sous le titre "Futility", et réédité en 1912, l'année même du naufrage, sous le titre "The Wreck of the Titan".

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En 1898, 14 ans avant le naufrage du Titanic, Morgan Robertson, écrivain de la mer,
avait imaginé la catastrophe dans un roman visionnaire !


Tous deux avaient trois hélices et atteignaient des vitesses de 24 à 25 noeuds. Dans le livre, le Titan pouvait recevoir 3000 personnes, équipage compris, et ses canots étaient en nombre insuffisant, mais personne ne s'en souciait car le Titan, avait été déclaré insubmersible pas ses concepteurs, comme sur le Titanic!


LE NAUFRAGE DU TITAN

Le roman de Morgan Robertson, "LE NAUFRAGE DU TITAN", nous livre une belle et héroïque histoire d'amour entre un marin courageux, une petite fille bravant le danger et une mère retrouvant enfin le bonheur complet. L'histoire raconte comment un navire de 75.000 tonnes et long de 243 mètres, fonçant à travers le brouillard à la vitesse de 15 mètres par seconde, va s’encastrer dans un iceberg en plein brouillard, au large de Terre Neuve, lors de sa première traversée de l’Atlantique.

 

 

Morgan Robertson,, a conçu son récit comme un pamphlet contre la volonté dominatrice de la technique en général, et de l'impérialisme britannique en particulier. Tous les détails de contexte sont campés pour rendre haïssable et futile cette volonté de puissance ce qui mène le monde, à toute vapeur, vers la catastrophe.

Le Titan cristallise toute la technologie, tout le savoir-faire humain en matière de construction navale, il est le plus grand vaisseau jamais construit par l'homme, le plus puissant, le plus rapide, et aussi le plus sûr. Equipé de caissons étanches, il est présumé insubmersible. Ce géant a été conçu pour assurer par tous temps, en toutes saisons, la traversée de l'Atlantique Nord à une vitesse record.


Au regard de cet argument publicitaire les deux risques possibles (le choc avec un autre navire, ou avec un iceberg) semblent un prix acceptable. En effet, si le navire heurte un autre navire, il le coupera en deux sans grand dommage, étant donné sa masse, et les assurances paieront; et s'il heurte un iceberg, il ne risque que des dégats mineurs, étant donné la conception révolutionnaire qui le rend insubmersible. C'est pourquoi la compagnie a donné comme consigne au capitaine de foncer dans le brouillard à toute vapeur pour établir un nopuveau record.

 

 

 

 

 

 

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Naufrage du Titanic
Pour les mêmes raisons on a négligé les canots de sauvetage: il ne se trouve à bord que vingt-quatre chaloupes susceptibles d'embarquer cinq cents personnes. Le navire a battu, lors de son voyage inaugural, le record de la traversée, au retour de New York.

La consigne a été donnée de forcer les machines pour battre un nouveau record. Un premier drame se déroule au début du voyage, pendant la nuit: un petit navire est coupé en deux par le Titan, qui n'a pu l'éviter à cause de sa vitesse excessive. Mais le capitaine, qui obéit aux consignes de la compagnie, ordonne que l'on poursuive la route sans chercher à sauver les éventuels survivants. Il est tard et le drame est passé inaperçu des passagers, mais pas à quelques membres de l'équipage. Ces derniers sont convoqués dans le bureau du capitaine, qui achète leur silence

Il est tard et le drame est passé inaperçu des passagers, mais pas à quelques membres de l'équipage. Ces derniers sont convoqués dans le bureau du capitaine, qui achète leur silence. Mais l'un d'eux refuse ce marché. Il s'agit d'un ancien capitaine, qui déclassé, est redevenu simple matelot à la suite d'une histoire d'amour qui l'a fait tomber dans l'alcoolisme.

L'homme, qui n'a plus rien à perdre, veut racheter l'échec de sa vie par une action d'éclat. Panique du capitaine, qui finit par trouver le point faible: à ce témoin récalcitrant, on va fournir du whisky à volonté, pour qu'à l'arrivée en Angleterre, il ne soit plus qu'une loque incapable de témoigner. Pendant ce temps-là le Titan s'achemine à toute vapeur vers son destin. Pour éviter que Rowland, le témoin gênant, ne soit au contact des passagers, on l'a envoyé à l'avant du vaisseau. Là, quelques minutes avant la collision, on le voit discuter avec un officier du rafraîchissement subit de l'air, signe de la proximité de champs d'icebergs, dans une scène qui évoque irrésistiblement un moment intense du film de James Cameron (Titanic, 1998). Et ce qui suit ne l'évoque pas moins. Hurlement de la vigie: "Ice ahead. Iceberg, Right under the bows!". Manœuvre désespérée. Mais il est trop tard, le choc est inévitable; lancé à la vitesse de vingt-quatre nœuds, le géant glisse sur une sorte de plan de glace incliné, sa proue s'élève; puis il bascule et se couche sur le côté. Les chaudières explosent, entraînant dans une mort atroce tous ceux qui travaillent dans les soutes. Seulement deux barques pourront être mises à la mer. Le lendemain, la presse mondiale se déchaîne: l'invincible Titan, l'orgueil de la marine britannique, a coulé lors de sa troisième sortie, entraînant dans la mort presque tous ses passagers et marins.

HASARD OU PROPHETIE


Ce récit, évidemment, coupe le souffle, et on cherche d'abord à en savoir plus sur la personnalité de l'auteur. Ce qui n'est pas chose facile, car, comme il fallait s'y attendre, sa biographie s'est trouvée quelque peu auréolée de légende. Ainsi, la rumeur a couru qu'il était mort sur le Titanic. Mais l'histoire, si l'on peut dire, est trop belle pour être vraie.

 

 

Morgan Robertson est mort en 1915, soit trois ans après la catastrophe; et comme son roman a été réédité en 1912, l'année du Titanic, il a sans doute été questionné sur sa prophétie. C'est probablement à cette occasion qu'il s'est expliqué sur son procédé d'écriture. Robertson avait, semble-t-il, la particularité d'écrire parfois dans un état médiumnique. Morgan Robertson est né en 1861 à Oswego, dans l'Etat de New York. Dès l'âge de seize ans, après le lycée, il devient marin et travaille dans la marine marchande de 1877 à 1886.

Par la suite, il trouve un emploi dans une bijouterie; mais des problèmes de vue l'obligent à abandonner ce travail et à se consacrer à l'écriture. Il devient un spécialiste de la nouvelle et du roman maritimes. Bien qu'autodidacte, il possède une solide culture, et une puissante capacité d'expression et de réflexion, dont témoignent ses écrits. C'est un marginal, un homme révolté contre la société de son temps, qui passera toute sa vie dans les difficultés matérielles. Une certaine reconnaissance lui viendra sur le tard, avec la publication de ses œuvres complètes, alors qu'il est devenu presque aveugle. On le trouvera mort dans un hôtel d'Atlantic City, le 24 mars 1915, assis dans un fauteuil faisant face à la mer.

 

De toute évidence, les constructeurs du Titanic n'ont jamais entendu parler du roman de Robertson, dont l'auteur, à la fin du siècle, reste à peu près inconnu. Et s'ils en avaient entendu parler, ils auraient appelé leur navire autrement.



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